top of page
Photo du rédacteurClaudine Grin

Pourquoi je suis devenu photographe



La photographie est une somme inépuisable d’émotions et d’histoires. Susciter l’émotion est un art, c’est aussi une passion, celle de ma vie. Lorsqu’il s’agit de motiver ses forces vives, de les former ou de les préparer au changement, tous les rôles sont importants. Encore faut-il susciter cette prise de conscience, connaitre ses forces et ses faiblesses, resserrer les liens, remettre en lumière des évidences. Il faut rendre simple et évident ce qui ne l’est pas. Pour me décrire, je choisirai le mot « amateur », celui qui me correspond le mieux, car il contient le mot « aimer ». Dans mes photos, je suis en résonance avec mes émotions, je goûte ces instants car ils provoquent en moi un bouleversement comme lorsque l’on aime. Je recherche la perfection en me rapprochant le plus possible à l’image de l’émotion que je ressens. La technique ne suffit pas : il faut apprendre à voir comme on a appris à lire, et ça se passe dans l’œil, puis dans l’âme avant de passer dans le cerveau. Mais j’aimerais y ajouter que l’enthousiasme ne remplace ni l’expérience, ni la compétence. C’est la magie des rencontres qui me font sentir l’émotion suffisante et que je sais que c’est le moment de retenir et capturer l’image. Dans l’imaginatif de mes ambiances, je cherche à créer la complicité avec mes sujets : un travail d’équipe qui s’affine ensemble, tant avant une séance que pendant. Je suis comme cela, j’attache autant d’importance à la lumière ou à la pose, qu’au modèle : ce qu’il ressent, son bien-être et son plaisir à poser. Ils sont les ingrédients dans lesquels je capture l’instant. L’instant où tout s’accorde dans une véritable harmonie. Alors, il n’y a plus aucune parole, la place est à l’image : les lignes, les courbes, le clic de l’appareil, les lumières extérieures avec lesquelles je travaille uniquement. Quel que soit le thème de la photo, je tente de traduire la pureté et la fraîcheur de ce que je vois à ce moment-là dans mon viseur. Le modèle doit se sentir à l’aise avec l’intention de la photo. Je ne force pas la main, car j’ai besoin d’une vraie participation et souvent je cherche à l’impliquer au début de l’idée. Les ingrédients sont le dialogue et la bonne humeur, car avant tout, on doit se faire plaisir. Si on fait de bonnes images, alors c’est réussi ! Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez pas à travailler un seul jour de votre vie... ~ Confucius Quelle joie de travailler dans la passion et de répondre aux souhaits des autres et cela dans la liberté. C’est cela aussi être artiste, travailler ce que je veux et quand je le veux. Je veux créer de jolies choses, je veux pouvoir donner à travers mon appareil photo une certaine forme d’amour. Je fais la promesse de toujours regarder mon travail avec fierté, avec cette lumière du jour qui est la mienne. Je suis submergée par mes progrès en tant que photographe. Ils me font atteindre un niveau d’Amour dans mon travail au-delà de ce que je pouvais imaginer. Mon métier de photographe me remplit de joie et c’est pour cela que j’exerce ce métier !




17 vues0 commentaire

Comments


bottom of page